Mathis
Gil

Après une licence en histoire, il étudie actuellement au sein du master MEEF de l’académie de Montpellier pour devenir professeur d’histoire et de géographie.
Passé par les Cours Florent puis le conservatoire Camille Saint-Saëns, il est aujourd’hui professeur au Théâtre des Beaux Arts à Montpellier.
Particulièrement concerné par la vague de désinformation croissante, dont les jeunes sont les principales victimes, il est à l’origine d’une approche intégrée où le développement de l’esprit critique est indissociable de l’utilisation de l’art oratoire : le module “Savoir penser, savoir parler”.
Cyril
Cassagnaud

C’est au lycée Jean Moulin de Béziers qu’il a développé un vif intérêt pour la Résistance et la Seconde Guerre mondiale.
Après une formation d’ingénieur à l’ENSEEIHT, un master à Sciences Po Paris et un diplôme de l’Institut National des Etudes Territoriales, il s’engage au service de la République, avec la volonté de participer à la solidarité et la cohésion sociale, des valeurs qu’il a rencontrées sur les terrains de rugby et dans le milieu associatif.
Actuellement ingénieur en chef territorial, il exerce les missions de directeur de la transition écologique et solidaire dans une administration publique et donne des enseignements sur le sujet à Sciences Po Paris.
Marion
Carpio

Passionnée d’Histoire, c’est la lecture de l’Armée des Ombres qui l’a plongée dans les récits de la Résistance.
Ayant grandi à Béziers, elle veut contribuer à faire vivre l’héritage de Jean Moulin à notre époque, et avec lui celui de tous les Résistants qui sont morts dans l’ombre.
Diplômée de Sciences Po Paris et de la London School of Economics, elle travaille aujourd’hui dans un groupe privé français.
Pablo
Gil

Passé par le lycée Jean Moulin de Béziers, et ailier pendant 10 années à l’ASBH, il a passé plus de temps à attendre le ballon qu’à convaincre sur le terrain.
Ingénieur de formation, diplômé de l’ESSEC et passé par l’Ecole Normale Supérieure, il travaille comme économiste du climat au sein de la Banque de France après avoir travaillé au siège des Nations Unies à New York.
Il y réalise l’importance et la fragilité de la paix internationale, et la nécessité de retrouver un espace commun de dialogue contre l’isolement social, économique et algorithmique.